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En Yeniler

Poeme d'amour

Poème d'amour: Et je t'ai aimé et toujours je t'aimerai ........ 

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J'ai froid, par un grand froid. Je suis habitée 
Par pluie de printemps qui est humidité...
J'ai froid parce que demain tu vas quitter 
Demain, j'hurlerai de devoir trop pleurer....
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Ton éloignement gronde en mon corps brisé
Mon âme crie déjà pour te retrouver 
Vite, vite, notre hier est loin passé
Vite, vite, que demain puisse arriver ... 
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Je t'attends maintenant et je t'attendrai
Ton corps bientôt, là, va se regénérer 
Je serai à tes côtés ..... sans te quitter
Mon moi te veillera pour mieux protéger
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À la tombée de ce jour ... je te dirai 
Combien je t'aime et encore je t'aimerai 
Je suis avec toi : viens donc me retrouver !
Nous conjuguerons sans fin le verbe aimer 

Poeme d'amour: Je reviendrais

Un matin de printemps, un soir de plein été
Je t’en fais le serment pas question d’oublier,
Je te retrouverais aussi loin que tu ailles 
Même si tu t’enfuyais, viendront les retrouvailles.
Je t’ai aimé au point de n’être plus qu’une ombre
En fuyant aussi loin, j’ai connu des jours sombres,
Je ne respirais plus mon cœur s’est endormi
Et je ne savais plus comment vivre ma vie.
Quand je faisais l’amour c’est toi qui me hantait
Et dans mon cœur trop lourd c’est toi que je portais,
Le vide de ces années n’étaient plus que douleur
Je ne pouvais aimer tu emprisonnes mon cœur.
Je te retrouverais, si tu m’as oublié
Cette fois je resterais pour tout te rappeler,
Si je dois te séduire je serais tentatrice
Je saurais te conduire au désir en supplice.
Lorsque tu m’aimeras au point même d’en mourir
Je quitterais tes bras, enfin je pourrais dire
Tous les mots qu’autrefois tu refusais d’entendre
Je t’apprendrais la joie d’aimer et d’être tendre.
Poeme d'amour et poème d'amour

Poème d'amour: L’illusion de l’amour

Rien n’y fait tu vois ! C’est comme ça chaque fois
J’aime de tout mon cœur et quand vient le malheur,
Je me demande pourquoi l’amour n’a pas de loi
Et pourquoi le bonheur fait verser tant de pleurs.
Quand j’aime follement, vient très vite le temps
Ou le doute s’installe et transforme l’idéal, 
En fiasco déchirant quand l’amour est fuyant
La fin toujours brutale nous laisse le cœur sale.
Et on peut tout donner, ce dont on a rêvé
Ne ressemble jamais à ce que l’on voulait,
On essaie de créer un cocon maitrisé 
Un amour trop parfait, on veut croire que c’est vrai.
Et le temps nous rappelle, l’amour de « lui et elle »
Ressemble à un mystère qui vit dans l’éphémère,
Si l’histoire est si belle, elle est aussi cruelle
Nis espoirs s’enterrent quand les liens se desserrent.
Les feux de la passion lorsque nous les vivions
Causent la cécité des âmes les plus sensées,
Quand revient la raison une toute autre émotion
Revient nous harceler, la douleur du rejet.
Le bonheur est fragile il ne tient qu’à un fil
A le vouloir si fort chaque fois on ignore
Ce qu’il y a de futile dans les amours serviles
L’amour est un décor qui épuise nos efforts.

Tu as emprisonné mes pensées mes désirs
Attaché tous mes mots à tes moindres soupirs
Mis à sac tout mon corps, mon armure à tes pieds
Ma présence qui s’endort devient une obstinée
Rappelant à chaque fois que je n’suis pas venu
Plongée au fond de moi, cette douce incertitude 
De t’aimer, de te fuir, de n’être qu’un parvenu
Cet amour quel qu’il soit, j’en ferai mon étude
Je tomberai sans un mot dans l’abîme de ton cœur
Pour te donner mon âme qui n’a plus d’importance
De rêver, d’écrire de jolies phrases par bonheur
D’exister par tes yeux pour palier mon absence…
Et scrutant mes moindres faits et geste de ma vie
Je laisserai ma lumière s'effacer dans le noir
Pour rejoindre dans mes rêves ma douce agonie
Ma liberté accrochée à tous tes espoirs...
Au vent s’envoleront les lettres et puis mes rimes
Que j’écrivais ailleurs avant de te connaitre 
Te laisserai venir en moi pour tuer cette déprime 
Tu reprendras mes écrits tu me feras renaître…

Serres fort ma main et empruntons-le!
Ce chemin pour sous un ciel plus bleu 
Rejoindre cette belle nature, lui dire bonjour 
A toutes nos envies secrètes, à notre amour....
Expatrions-nous à la rencontre du soleil 
Ou brillent tous nos mots, au doux goût de miel 
Toi et moi, nous réchaufferons, sereinement 
Nous serons si bien que face à ce bel instant…
S'égraineront sous nos doigts entrelacés 
Les heures, minutes perdues écoulées 
Dans un bonheur sans nul autre pareil 
Que celui de s'aimer, là où s'éveillent
Nos deux cœurs inertes au chant béat
Où à battre toujours plus fort, réanimera 
Sous nos yeux ce moment de beauté 
Qu’est notre première rencontre un jour d'été....

Elle a ces mots d'amour que je n’ai pas
Chez elle c’est un naturel, soit ! 
Ils émanent du fond de sa voix 
Avec cette douceur à la fois
C’est du soleil sur les syllabes
Surtout les Oh et puis les oui 
C’est du velours au préalable
Quand elle les fredonne la nuit
Elle les compose, fait des poèmes
Et je les lis comme un enfant
Qui n’connait que le mot je t’aime
Et qui découvre les sentiments…
Et les émotions qu’elle transporte
Ou l’on voit les rimes descendre
Comme une larme qui se porte 
Sur sa joue rose, douce et tendre …

A nos plumes jolies qui s’inspirent de livres
D'une page où je te dois et à tout ces doux mots, 
L'envie de m'envoler, où plus loin il se livre 
Du matin comme au soir nos vers deviennent si beaux...
Quand les rimes brodent entre elles en dentelle notre histoire 
D'une passion symphonique emplie de sentiments 
Quelle joie de se laisser un instant s'émouvoir 
Puisse- t on toujours les mettre à l'abri des grands vents…
Laissons place qu'au bonheur qui vient nous envahir 
Nous faire encore voguer et lover nos deux cœurs 
Ou circulent des rimes l'un vers l'autre, nos sourires 
S’inscrivent nul par ailleurs qu’en ce lieu de douceur...
L’émotion transcende les poèmes éternels 
embrasse tout cet espoir et y conte au fil des jours ...
Tendrement s’enrubannent nos quatrains dans notre ciel 
Arborant en nos âmes le fanion de l’amour...

Dans la rue de ton cœur, tout bas j'ai entendu 
Comme des pas qui raisonnent dans un rêve lointain 
Mon amour qui te cherche et à perte de vue
L'âme triste d'un homme qui ne sait plus trop bien
Quelle saison fait revivre les fleurs blanches sous sa peau
Pour donner cette envie que de boire à ton eau
Tes beaux alexandrins qui me rendent mes mots
À ta fontaine ou vit les désirs magistraux
J'ai entendu aussi dans la rue de ton cœur
Couler comme des larmes inondant de bonheur
Mon regard lumineux qui vient secouer la peur
Ainsi l'éliminer dans une belle douceur...
Dans la vague qui déferle sur la rue de ton cœur 
J'ai amarré ma barque qui t'emmène en voyage
Vers des vers disparus au pays d'un ailleurs 
J'ai vu tout simplement l'union de nos visages...
Empreinter ce passage une nuit, en été
Ou la douceur de juin sur nos deux cœurs battait 
Puis au bout un chemin, nos deux âmes égarées
Sont passées sur les rimes et se sont envolées...

Poème d'amour: ««« ... Tu pars pour revenir ! ... »»»

Il est là brisé cet homme que j'aime 
Il est là, étendu, le corps martyrisé
On l'a blessé, mais c'est de lui-même 
Qu'il est là, étendu le corps crucifié
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À coups de longs coups de scalpel 
Ils vont fendre la peau de son dos 
Trop tard pour négocier un appel
On doit corriger la position des os 
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Il est là, à plat ventre, corps brisé
Dos désarticulé, pour souder le mal
On incise ouvertement pour soigner
Puissante spéculation chirurgicale
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Un bistouri ouvre son amputation 
Mon amour dort et livre bataille 
Contrôle progressif de la respiration
Endormi, il sèmera dans ses rocailles ...
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Mais que de douleurs à son réveil ..
Cette souffrance sera une renaissance
Un jour, il remarchera à merveille 
Pas à pas il marchera avec confiance...
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Amour, en mon coeur, je serai là .. .
Mon âme sera auprès de ton âme 
Je poserai ma tendresse dans tes bras
Pour toi je me ferai telle ta femme 
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J'effacerai tes douleurs de mes doigts
J'effacerai tous les rides de ton front
Je te ferai oublier ce qui n'est pas moi
Personne ne doit savoir ... nos noms ..